[Translation: The [legislative] council took up their agenda, motivated by this that Reason and Truth would no longer permit any illusion to impinge upon the sights or imagination of the people. We recall here two citations from our preamble [to our constitution]: the motion against the bell towers and the order for the demolition of the sculptures of [the cathedral of] Notre Dame. The Monitor does not name the author of the motion. The Journal de Paris, 1793 n. CCCXVIII tells us that it was Hébert. This paper says: "Members of the popular Society of the Museum entered the council meeting crying out, Long live [human] reason!. They carried a stick holding the smoking remains of a book and announced that the books of scripture portions, the missals, the schedules of holy activities, and the Old and New Testaments, expiated (paid the penalty) in a large fire in the plaza of the Temple of Reason, for all their foolish insults which they had committed against the human species. — Hébert then told the counsel that in the section of Bonne-Nouvelle [a subdivision of Paris in effect during the Revolution], every decadi [the ten-day week of the Revolution], in the temple of Reason, we will have a course on morals; adding that the parishioners of the area had torn down [or "vandalized"] their bell tower. He proposed that, following this example, all the bell towers of Paris be torn down because they seemed to thwart the principle of equality. The council adopted the principle, and sent their action to the department [area government]."]
Le conseil passa à l'ordre du jour, motivé sur ce que la Raison et la Vérité, ne permettaient plus qu'aucun simulacre frappât les regards ou l'imagination du peuple. Nous rappellerons ici deux citations de notre préambule, la motion contre les clochers, et l'arrêté pour la démolition des sculptures de Notre-Dame. Le Moniteur ne nomme pas l'auteur de la motion. Le Journal de Paris, 1793, n. CCCXVIII, nous apprend que ce fut Hébert. Cette feuille dit: « La société populaire du Muséum entre au conseil en criant: Vive la Raison! et porte au bout d'un bâton les restes d'un livre encore fumant, elle annonce que les bréviaires, les missels, les heures de Sainte-Brigitte, l'ancien et le nouveau Testament, ont expié, dans un grand feu, sur la place du temple de la Raison, toutes les sottises qu'ils ont fait commettre à l'espèce humaine. — Hébert instruit ensuite le conseil que, dans la section de Bonne-Nouvelle, on fera, chaque décadi, dans le temple de la Raison, un cours de morale; il ajoute que cette section a fait abaitre son clocher; il propose en conséquence que l'on abatte tous les clochers de Paris, parce qu'ils semblent contrarier les principes de l'égalité. Le counseil adopte le principe, et renvoie cet arrété au département. »
Buchez, Philippe-Joseph-Benjamin and Prosper-Charles Roux, Histoire Parlementaire de la Révolution Francaise, Paris: Paulin, Libraire, 1837, v. 30, pp. 200-201.
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